Derrière chaque masque, il y a un être humain.
Entretien avec : Martin
Martin, sapeur-pompier engagé et dévoué, se distingue par son investissement envers son pays (Allemagne), son esprit serviable et sa capacité à prendre des risques. Lorsqu'il a pris conscience du danger du cancer professionnel pour les pompiers, il s'est investit d'une mission : protéger la santé de ses collègues et la sienne.
Martin, au-delà d'être sapeur-pompier volontaire tu es aussi conducteur industriel. On doit souvent te demander en quoi consiste ton métier ?
Oui. Je déplace des conteneurs et des semi-remorques sur le site de mon entreprise. On pourrait aussi dire que je suis manutentionnaire.
Depuis combien de temps es-tu pompier et qu'est-ce qui t'a poussé à le devenir ?
Je fais partie des pompiers depuis l'âge de 12 ans. Mon père était commandant des pompiers volontaires de Ried, dans le Zillertal en Allemagne. On pourrait dire que j'étais prédestiné à devenir pompier. Ça se fait tout naturellement quand on fréquente la caserne dès l'enfance. J'aime leur esprit de communauté et le fait d'aider les autres. Quand le bip sonne, je pense à la personne qui a besoin de mon aide.
Au sein de la caserne, tu es également responsable du reconditionnement des Appareils Respiratoires Isolants (ARI). Qu'est-ce qui te plaît le plus dans cette mission ?
J'aime nettoyer, désinfecter et contrôler les équipements après les interventions. Les six Soupape A la Demande (SAD) sont soumises à un contrôle supplémentaire une fois par mois. Ainsi, mes camarades et moi-même sommes bien protégés et toujours prêts à intervenir en toute sécurité. Au total, nous comptons 100 membres actifs, dont 37 porteurs d'ARI et 22 jeunes sapeurs-pompiers. Ils sont tous incroyablement motivés.
Comment te protèges-tu et comment protèges-tu tes camarades du risque de cancer spécifique aux pompiers, en intervention et dans l'atelier de maintenance ? On sait qu'il est beaucoup plus élevé chez les soldats du feu que dans le reste de la population.
Je n'en avais jamais entendu parler avec de rencontrer MEIKO. On en parle très peu au Tyrol. Aujourd'hui, je sais à quel point il est important de désinfecter l'équipement de protection respiratoire et de séparer la zone propre de la zone sale dans l'atelier de maintenance. Nous essayons d'appliquer ces principes du mieux que nous pouvons. L'équipement de protection respiratoire est déposé dans un grand sac en plastique étanche sous vide, puis apporté dans l'atelier de maintenance pour être nettoyé et désinfecté dans le TopClean M de MEIKO. Nous pouvons choisir entre trois programmes en fonction du degré de salissure. L'atelier faisant seulement 12m², les tenues portées en intervention, elles, sont nettoyées dans une blanchisserie spécialisée.
C'est donc une bonne chose que MEIKO attire l'attention sur le cancer des pompiers avec sa campagne « Derrière chaque masque, il y a un être humain » ?
Oui, je pense que l'opinion publique doit être alerte sur le sujet et en parler davantage. A ce jour, nous ne lui accordons pas assez d'attention et n'en avons pas suffisamment conscience – moi pas plus que les autres.
« Je n'avais jamais entendu parler du cancer des pompiers avant de rencontrer MEIKO. On en parle très peu au Tyrol. Aujourd'hui, je sais à quel point il est important de désinfecter l'équipement de protection respiratoire et de séparer la zone propre de la zone sale dans l'atelier de maintenance. »
Martin utilise le TopClean M de MEIKO pour le nettoyage et la désinfection des masques de protection respiratoire, des respirateurs à air comprimé et des SAD.
Depuis plus de dix ans, la société MEIKO développe avec l'aide de sapeurs-pompiers des appareils de nettoyage et de désinfection sur mesure pour les Appareils Respiratoires Isolants (ARI). Ces solutions sont particulièrement utiles aux techniciens chargés de l'entretien du matériel.
Solution MEIKO Protect pour les ateliers de maintenance des ARI